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    Comme un oiseau de flamme aux gigantesques ailes
    Qui, venu du nadir s’en retourne au zénith,
    La comète poursuit ses courses éternelles,
    Certaine de sa route à travers l’infini.

    Rien ne peut l’arrêter, ni les groupes de mondes
    Qu’elle effleure en passant de sa traîne aux plis d’or,
    Ni les longues horreurs des ténèbres profondes
    Où le céleste...