• Comme l'astre adouci de l'antique Elysée,
    Sur les murs dentelés du sacré Colysée,
    L'astre des nuits, perçant des nuages épars,
    Laisse dormir en paix ses longs et doux regards,
    Le rayon qui blanchit ses vastes flancs de pierre,
    En glissant à travers les pans fIottants du lierre,
    Dessine dans l'enceinte un lumineux sentier ;
    On dirait le tombeau d'un peuple...