• Calme des nuits sur l'Océan
    Étoiles et feux du navire,
    Et l'éternel balancement
    Des houles et de mon désir.

    Qui donc es-tu, maîtresse amère,
    Ô volupté de l'abandon ?
    Le coeur nourri de tes poisons
    N'atteindra jamais sa chimère.

    Penché sur ton changeant visage
    Où se reflètent tour à tour
    La fuite éperdue du voyage
    Et le...