De sa rosace immense encombrant le ciel bleu,
Il est un monstre amorphe, intangible et farouche ;
Ce cauchemar du vide affole ce qu’il touche
Et répand un venin qui met la terre en feu.
Ce parasite ignore et le temps et le lieu,
Rend l’univers bancal et la nature louche,
Et, liant la raison comme une faible mouche,
Il lui boit le cerveau. Ce...