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    Oh ! blame not the Bard...

    Ne blâmez point la molle rêverie
    Qui m’aide à fuir les pensers glorieux :
    Je ne puis rien aux maux de ma patrie ;
    Je veux du moins en détourner les yeux.

    Festins, où naît l’éclatante saillie,
    Apportez-moi vos plaisirs renaissans :
    La coupe d’or, l’amour et la folie
    Vont désormais inspirer mes...