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    Sur le sable du Nil où gisaient ces armures,
    Mon pied poudreux heurtait des ossements humains ;
    Le vent y modulait de sinistres murmures,
    Le chacal déterrait des crânes et des mains.

    Le bras s'est desséché, le sable brille encore :
    Voyez comme avec l'or l'acier se mariant
    Dessine en clous d'azur, sur le fer qu'il décore,
    L'...

  • Des yeux auxquels ainsi, qu'en un Trophée
    L'arc, et les traits d'Amour sont amassés :
    Des cheveux d'or, crêpés, et enlacés
    D'une coiffure en fin or étoffée

    Et de la main, qui rendait échauffée
    La volonté des fiers coeurs englacés :
    Et des doux mots doucement prononcés,
    Fut dessus moi victoire triomphée.

    Ô de beauté céleste simulacre...