Tous les jours m'apportaient une lettre nouvelle.
On m'écrivait : « Ami, viens, la saison est belle ;
Ma femme a fait pour toi décorer sa maison,
Et mon petit Arthur sait bégayer ton nom. »
Je partis, et deux jours d'une route poudreuse
M'amenèrent enfin à la maison heureuse,
A la blanche maison de mes heureux amis.
J'entrai, l'heure sonnait ;...