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      Ô femmes, c’est pour vous que j’accorde ma lyre ;
    Ô femmes, c’est pour vous qu’en mon brûlant délire,
    D’un usage orgueilleux, bravant les vains efforts,
    Je laisse enfin ma voix exprimer mes transports.
    Assez et trop longtemps la honteuse ignorance
    A jusqu’en vos vieux jours prolongé votre enfance ;
    Assez et trop longtemps les hommes, égarés,
    ...