• Le vent tourbillonnant, qui rabat les volets,
    Là-bas tord la forêt comme une chevelure.
    Des troncs entrechoqués monte un puissant murmure
    Pareil au bruit des mers, rouleuses de galets.

    L'Automne qui descend les collines voilées
    Fait, sous ses pas profonds, tressaillir notre coeur ;
    Et voici que s'afflige avec plus de ferveur
    Le tendre désespoir...