Pourquoi, vous qui rêvez d'unions éternelles,
Maudissez-vous la mort ?
Est-ce bien moi qui romps des âmes fraternelles
L'indissoluble accord ?
N'est-ce donc pas la vie aux querelles jalouses,
Aux caprices moqueurs,
Qui vient, comme la feuille à travers ces pelouses,
Éparpiller vos coeurs ?
C'est sa main qui disjoint vos plus chères...