Au cygne frissonnant qui la vient embraser
Elle offre son beau corps robuste sans comprendre :
Des Immortels naîtront de ce muet baiser,
Et la forme d'Hélène en ce flanc va descendre.
Et par l'étrange éclat des soirs mystérieux
C'est ainsi que toujours la stupide...
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Le vent criait, le vent roulait ses hurlements, |
Je suis l'Ancien, je suis le Mâle et la Femelle, |
La nuit splendide et bleue est un paon étoilé |
Ô nuit, ô belle nuit, pâle comme sa chair : |
Le sage aime la paix et la douceur des plantes, |
Tout est mensonge : aime pourtant, |
Les êtres pour le Sage ont l'aspect de fantômes ; |
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