Oiseaux ! oiseaux que j’envie
Votre sort et votre vie !
Votre gentil gouvernail,
Votre infidèle pennage,
Découpé sur le nuage,
Votre bruyant éventail.
Oiseaux ! oiseaux ! que j’envie
Votre sort et votre vie !
Vos jeux, aux portes du ciel...
Votre gentil gouvernail, Oiseaux ! oiseaux ! que j’envie Vos jeux, aux portes du ciel... |
Sèche tes pleurs, fille adorée. Non ! rendez-moi mon bachelet ; |
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— Pauvre bougre !
Jules JANIN
Là dans ce sentier creux, promenoir solitaire |
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A ranimer la muse en vain je m’évertue, C’est son souffle pourtant qui parfume mon âme ; |
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Une douleur renaît pour une évanouie ; Dans ma poitrine sombre, ainsi qu’en un champ clos, |
Volupté chaste, et la seule où j’aspire ; |
Lune, témoin de tant de gloire, Non jamais, Sagonte nouvelle, |