• Ma femme est morte, je suis libre !
    Je puis donc boire tout mon soûl.
    Lorsque je rentrais sans un sou,
    Ses cris me déchiraient la fibre.

    Autant qu'un roi je suis heureux ;
    L'air est pur, le ciel admirable...
    Nous avions un été semblable
    Lorsque j'en devins amoureux !

    L'horrible soif qui me déchire
    Aurait besoin pour s'assouvir
    D'...