Ô senteur suave et modeste
Qu’épanchait le front maternel,
Et dont le souvenir nous reste
Comme un lointain parfum d’autel,
Pure émanation divine
Qui mêlais en moi ta douceur
À la petite senteur fine
Des longues tresses d’une sœur,
Chère odeur, tu t’en es allée
Où sont les parfums de jadis,
Où remonte...