Les cloches dans leurs tours égrènent un rosaire 
Mélancolique, par l'air d'une nuit d'été. 
Or j'ai bu le poison aux yeux de la Beauté, 
Et j'ai peine à ne pas crier sous ma misère.
Ô lourd ciboire où le damné se désaltère ! 
Ô coupe d'or sanglant où dort l'eau du Léthé !... 
Les cloches dans leurs tours égrènent un rosaire 
Mélancolique, par l'air d'...
