La foi, l’antique foi dans mon âme a péri,
Et maintenant je sonde à tâtons la Nature.
Mais je regrette, hélas ! la sublime imposture
Qui, dans l’ombre déserte, offre au cœur un abri ;
Et j’y crois de nouveau quand vous m’avez souri :
La nuit m’épouvantait, cette aube me rassure.
Quand je ne vous vois pas, l’inconnu me torture ;
Paraissez...