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    QUAND elle met ses gants, je l’aide, et c’est très long…
    Nous sommes tous les deux dans le petit salon
    Qui retient le parfum de sa robe d’automne.
    Elle me tend ses mains ; j’hésite, je tâtonne :
    Ses doigts sont délicats, fuselés, élégants !
    Je les baise à loisir, quand je lui mets ses gants !
    Je prolonge ― elle est bonne et tendre ― ce manège,...