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    Dans le mortel soupir de l’automne, qui frôle
               Au bord du lac les joncs frileux,
    Passe un murmure éteint : c’est l’eau triste et le saule
               Qui se parlent entre eux.

    Le saule : « Je languis, vois ! Ma verdure tombe
               Et jonche ton cristal glacé ;
    Toi qui fus la compagne, aujourd’hui sois la tombe
               De mon...