• Depuis de si longs jours prisonnier, tu t’ennuies,
    Pauvre oiseau, de ne voir qu’intarissables pluies
    De filets gris rayant un ciel noir et brumeux,
    Que toits aigus baignés de nuages fumeux.
    Aux gémissements sourds du vent d’hiver qui passe
    Promenant la tourmente au milieu de l’espace,
    Tu n’oses plus chanter ; mais vienne le printemps
    Avec son soleil d...