• A Arsène Houssaye.

    Bois frissonnants, ciel étoilé,
    Mon bien-aimé s'en est allé,
    Emportant mon coeur désolé !

    Vents, que vos plaintives rumeurs,
    Que vos chants, rossignols charmeurs,
    Aillent lui dire que je meurs !

    Le premier soir qu'il vint ici
    Mon âme fut à sa merci.
    De fierté je n'eus plus souci.

    Mes regards étaient...