• Me souvenant de tes bontez divines
    Suis en douleur, princesse, à ton absence ;
    Et si languy quant suis en ta presence,
    Voyant ce lys au milieu des espines.

    Ô la doulceur des doulceurs femenines,
    Ô cueur sans fiel, ô race d'excellence,
    Ô traictement remply de violance,
    Qui s'endurçist pres des choses benignes.

    Si seras tu de la main...