• Il est un air pour qui je donnerais
    Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber,
    Un air très-vieux, languissant et funèbre,
    Qui pour moi seul a des charmes secrets.

    Or, chaque fois que je viens à l'entendre,
    De deux cents ans mon âme rajeunit :
    C'est sous Louis treize; et je crois voir s'étendre
    Un coteau vert, que le couchant jaunit,

    Puis un...