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    Sur le sable du Nil où gisaient ces armures,
    Mon pied poudreux heurtait des ossements humains ;
    Le vent y modulait de sinistres murmures,
    Le chacal déterrait des crânes et des mains.

    Le bras s'est desséché, le sable brille encore :
    Voyez comme avec l'or l'acier se mariant
    Dessine en clous d'azur, sur le fer qu'il décore,
    L'...