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    QUAND la pairie était comme l’herbe fauchée
    Sous les pieds et la dent féroce du vainqueur.
    Poète, j’ai pleuré du profond de mon cœur
    Et sa splendeur éteinte et sa gloire couchée.

    Devant les morts sacrés dont elle était jonchée,
    J’ai dit mon désespoir, ma haine, ma rancœur
    Et j’ai mêlé ma voix au lamentable chœur
    Dont la pitié s’était vers sa...