Le printemps maladif a chassé tristement
L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide,
Et, dans mon être à qui le sang morne préside
L'impuissance s'étire en un long bâillement.
Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'...
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A des heures et sans que tel souffle l'émeuve |
La jeune dame qui marche sur la pelouse |
Prends ce sac, Mendiant ! tu ne le cajolas |
Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui |
Las de l'amer repos où ma paresse offense |
Le temple enseveli divulgue par la bouche |
I |
D'une verrerie éphémère |
La lune s'attristait. Des séraphins en pleurs |