• C’est par eau qu’il faut y venir.
    La berge a peine à contenir
    Le fouillis d’herbes et de branches,
    Ce monde petit et charmant,

    La grande roue en mouvement,
    Les vannes et leurs ponts de planches.

    Un bruit frais d’écluses et d’eau
    Monte derrière le rideau
    De la ramure ensoleillée.
    Quand on approche, il est plus clair ;
    Le barrage...