• En Dordogne, au bas d’un coteau
    Et sur le bord d’une rivière,
    J’habite un semblant de château,
    A peine une gentilhommière.

    Rien n’est paisible et retiré
    Comme cette chère demeure
    Où mes aïeux ont expiré :
    Mon destin veuille que j’y meure !

    Il est vrai, le toit affaissé
    A plus de cent tuiles brisées,
    Les créneaux, roulés au fossé,...