En Dordogne, au bas d’un coteau
Et sur le bord d’une rivière,
J’habite un semblant de château,
A peine une gentilhommière.

Rien n’est paisible et retiré
Comme cette chère demeure
Où mes aïeux ont expiré :
Mon destin veuille que j’y meure !

Il est...