O la rafraîchissante et consolante idée,
Mourir ! trouver enfin le silence et la nuit,
Fermer mes yeux au jour mes oreilles au bruit,
Vider la coupe noire à ma soif accordée,
Dormir, oublier ! puis, toute l’éternité,
Rêver d’amour sans fin, rêver de paix sans lutte,
Ne plus craindre à mes pieds le piége ni la chute,
Et poursuivre à loisir l’idéale...