• Tu vivais tant ! Toujours dans le bois qui t’invite,
    Et jamais fatigué, haïssant de t’asseoir,
    On avait tant de peine à t’endormir le soir,
    Et ton sommeil d’oiseau se réveillait si vite !

    Tes nuits s’inquiétaient d’une haleine de l’air,
    Comme un canot tressaille encore dans la crique ;
    Chargé de vie hélas ! ton repos électrique
    Laissait à tes yeux...