Effroyables deserts, pleins d'ombre, et de silence, 
Où la peur, et l'hyver, sont éternellement ; 
Rochers affreux, et nus, où l'on voit seulement 
Le tonnerre, et les vents montrer leur insolence.
En quelque part des Cieux que le Soleil s'élance, 
Vous estes tousjours pleins d'un froid aveuglement, 
Et vos petits ruisseaux malgré leur element 
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