• ô maison d’Aristippe ! ô jardins d’épicure !
    Vous qui me présentez, dans vos enclos divers,
    ce qui souvent manque à mes vers,
    le mérite de l’art soumis à la nature,
    empire de Pomone et de Flore sa soeur,
    recevez votre possesseur !
    Qu’il soit, ainsi que vous, solitaire et tranquille !
    Je ne me vante point d’avoir en cet asile
    rencontré le parfait...