• Du camp de Philisbourg,
    c’est ici que l’on dort sans lit,
    et qu’on prend ses repas par terre ;
    je vois et j’entends l’atmosphère
    qui s’embrase et qui retentit
    de cent décharges de tonnerre ;
    et dans ces horreurs de la guerre
    le français chante, boit, et rit.
    Bellone va réduire en cendres
    les courtines de Philisbourg,
    par cinquante...