Je ne viens pas ce soir vaincre ton corps, ô bête
En qui vont les péchés d’un peuple, ni creuser
Dans tes cheveux impurs une triste tempête
Sous l’incurable ennui que verse mon baiser.
Je demande à ton lit le lourd sommeil sans songes
Planant sous les...
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Veux-tu, sur les grands monts aux vertes chevelures, Et sur ces flancs ouvrés en mille dentelures |