Je n’ai jamais rien lu de Wordsworth, le poète
Dont parle lord Byron d’un ton si plein de fiel,
Qu’un seul vers ; le voici, car je l’ai dans la tête :
— Clochers silencieux montrant du doigt le ciel. —
Il servait d’épigraphe, et c’était bien étrange,
Au chapitre premier d’un roman : — Louisa, —
Les douleurs d’une fille, œuvre toute de...