L’hiver est là. L’oiseau meurt de faim ; l’homme gèle.
Passe pour l’homme encor ; mais l’oiseau, c’est pitié !
Dans un bouquin rongé des rats plus qu’à moitié
J’ai lu qu’il paie aussi la faute originelle.
La bise a mangé l’...
L’hiver est là. L’oiseau meurt de faim ; l’homme gèle. La bise a mangé l’... |
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Ce qui m’excite à t’aimer, ô mon Dieu, C’est toi, mon Dieu, toi par ton libre vœu |
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