•  
    Quand tu constates les ravages
    Du mal qu’autrefois tu m’as fait,
    Devant cette mer sans rivages,
    Tu sembles rester stupéfait.

    Et de tes paupières baissées,
    Sur moi tombe un regard sans prix,
    Ainsi se croisent nos pensées :
    Tu soupires, moi je souris !