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    Lorsque les ans auront glacé mon cœur,
    Et sur mon front mis leur blanc diadème,
    Quand j’aurai vu tous les rêves que j’aime
    S’évanouir au souffle du malheur,

    Si la souvenance d’un temps meilleur
    Ne me rend pas l’ombre de ma bohème,
    Devant la faulx de la Camarde blême.
    Je pousserai mon cadavre sans peur !

    Aussi, pour vivre aux heures de...