• À Jean Richepin.

    Toi, tu dois les aimer, les grands ciels de septembre,
    Profonds, brûlants d'or vierge et trempés d'outremer.
    Où dans leurs cheveux roux les naïades d'Henner
    Tendent éperdument leur buste qui se cambre.

    La saveur d'un fruit mûr et la chaleur de l'ambre
    Vivent dans la souplesse et l'éclat de leur chair,
    Et le désir de mordre...