• Dans le bal tournoyant que conduit la Folie,
    On voit, roses et noirs, les masques se mêler ;
    Puis quand la verte Aurore au matin vient souffler
    Sur les lustres mourants et leur flamme pâlie,

    Quand le dernier quadrille a cessé de ronfler
    Dans la salle muette à moitié désemplie,
    Alors le masque noir ou rose se délie
    Et le secret des traits vient à se...