• Il est de tristes fleurs qui fleurissent fanées,
    Aux crevasses des murs, sur les tours ruinées ;
    Le soleil les accable, et le vent orageux
    Les déchire, cruel comme nous dans ses jeux.
    On les voit cependant, qui se pressent d’éclore,
    Comme si dans leur sein devait pleurer l’aurore ;
    Comme si la bergère, en l’effeuillant, un jour,
    Y devait consulter l’...