A ranimer la muse en vain je m’évertue,
Elle est sourde à mes cris et froide sous mes pleurs ;
Sans espoir je me jette aux pieds d’une statue
Dont le regard sans flamme avive mes douleurs.

C’est son souffle pourtant qui parfume mon âme ;
C’est sa voix qui m’ouvrit...

Poet: Petrus Borel