Oh ! que j’aime à rêver, seul, amoureusement,
A ma large croisée au vent du soir béante !
Libre de tous soucis, dans le vague flottante,
Mon, âme alors s’entr’ouvre au plus doux sentiment.
Sous les doigts aimantins de ce muet délire,
Ma nature s’émeut, vibre...

Poet: Petrus Borel