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    JE regrette les yeux qui jadis m’ont souri
    Parce que je fus pâle et que ma chair souffrit ;
    Malgré ce que le temps en nous efface ou voile,
    De leurs regards émus ma mémoire s’étoile.
    Je me suis fait moi-même un ciel intérieur
    Que l’esprit de ce siècle incrédule et railleur
    Ne pourrait dépeupler de mes visions chères.
    J’ai suspendu trop haut...