• Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur,
    Un automne jonché de taches de rousseur,
    Et vers le ciel errant de ton œil angélique,

    Monte, comme dans un jardin mélancolique,
    Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur !
    — Vers l’Azur attendri d’octobre pâle et pur
    Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie,
    Et laisse, sur l’eau morte où la...

  • Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur,
    Un automne jonché de taches de rousseur
    Et vers le ciel errant de ton œil angélique
    Monte, comme dans un jardin mélancolique,
    Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur !
    — Vers l’Azur attendri d’Octobre pâle et pur
    Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie
    Et laisse, sur l’eau morte où la fauve...

  • Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur,
    Un automne jonché de taches de rousseur,
    Et vers le ciel errant de ton œil angélique
    Monte, comme dans un jardin mélancolique,
    Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’azur !
    — Vers l’azur attendri d’Octobre pâle et pur
    Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie,
    Et laisse, sur l’eau morte où la fauve...

  • Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur,
    Un automne jonché de taches de rousseur,
    Et vers le ciel errant de ton œil angélique,
    Monte, comme dans un jardin mélancolique,
    Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur !
    — Vers l’Azur attendri d’Octobre pâle et pur
    Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie
    Et laisse, sur l’eau morte où la fauve...

  • Mon âme vers ton front où rêve, ô calme soeur,
    Un automne jonché de taches de rousseur,
    Et vers le ciel errant de ton oeil angélique
    Monte, comme dans un jardin mélancolique,
    Fidèle, un blanc jet d'eau soupire vers l'Azur !
    - Vers l'Azur attendri d'Octobre pâle et pur
    Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie
    Et laisse, sur l'eau morte où la fauve...