Pour jamais l'an vient de s'écouler,
Amis, c'est un mal sans remède,
Et bien loin de nous en désoler,
Ne songeons qu'à l'an qui succède ;
Oui, livrons-nous, pour rajeunir.
Aux transports d'une gaîté folle ;
Et ne pouvant fixer le temps qui vole,
Tâchons...