• Toi que le ciel jaloux ravit dans son printemps ;
    toi de qui je conserve un souvenir fidèle,
    vainqueur de la mort et du temps ;
    toi dont la perte, après dix ans,
    m’est encore affreuse et nouvelle ;
    si tout n’est pas détruit ; si, sur les sombres bords,
    ce souffle si caché, cette faible étincelle,
    cet esprit, le moteur et l’esclave du corps,
    ce je...