Phylis, je ne suis plus des rimeurs de ce siècle
Qui font pour un sonnet dix jours de cul de plomb
Et qui sont obligés d'en venir aux noms propres
Quand il leur faut rimer ou sur coiffe ou sur poil.
Je n'affecte jamais rime riche ni pauvre
De peur d'être contraint...
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Dans l'horreur d'un bois solitaire |
Ici la même symétrie |
Plaisirs d'un noble ami qui sait chérir ma veine, |
(Extrait) |
Ces atomes de feu qui sur la neige brillent, |
Ruisseau qui cours après toi-même |
Enfin la haute Providence |
Fagoté plaisamment comme un vrai Simonnet, |
(extraits) |