• Maintenant je pardonne à la douce fureur
    Qui m'a fait consumer le meilleur de mon âge,
    Sans tirer autre fruit de mon ingrat ouvrage
    Que le vain passe-temps d'une si longue erreur.

    Maintenant je pardonne à ce plaisant labeur,
    Puisque seul il endort le souci qui m'outrage,
    Et puisque seul il fait qu'au milieu de l'orage,
    Ainsi qu'auparavant, je ne tremble...