• Quelle horreur, quel effroi, quel brouillard, quelle nuit,
    S'amasse sur ce lieu privé de la lumière !
    L'air s'est noirci partout, ô ma douce guerrière,
    Depuis que ton bel oeil ici plus ne reluit.

    Le Soleil amoureux de ta beauté te suit,
    Les Grâces, les Amours, ne te laissent derrière,
    Amour qui tient mon âme en tes yeux prisonnière
    Appelle à soi...