Si nôtre cors est la prison de l'ame,
Ou elle fait quelque tems sa demeure :
Il faut apres, qu'elle en est hors, il meure,
Elle spirant toujours celeste flame.
La terre est doncq' le cercueil et la lame
Du cors, qui mort ensepulchré demeure,
En attendant l'incertaine-extreme heure
Du jugement, que Juppiter nous trame.
Le cors fragil,...